Dédougou, 15 août 2024 – Une tragédie a frappé la ville de Dédougou dans la nuit du 16 août 2024, où deux boutiques, dont un point de vente de télécommunications, ont été ravagées par un incendie. Situées au carrefour de la route menant à la radio Salaki depuis le grand marché, les deux commerces ont été entièrement détruits, laissant leurs propriétaires dévastés et plongés dans l’incertitude.
Au petit matin, la scène était désolante. Les propriétaires des deux boutiques, le visage marqué par la tristesse et l’amertume, ont constaté l’étendue des dégâts. Le feu, qui s’est déclaré au cœur de la nuit, a tout emporté sur son passage, réduisant à néant les investissements et les efforts de plusieurs années.
Les causes de l’incendie restent inconnues – Pour l’heure, les causes exactes de l’incendie restent incertaines. Les autorités locales n’ont pas encore communiqué sur l’origine du sinistre, laissant planer le doute et l’inquiétude dans le quartier. Les habitants, solidaires, espèrent que des investigations seront rapidement menées pour déterminer ce qui a déclenché ce drame.
Un appel à la solidarité et à la reconstruction – Face à cette épreuve, les propriétaires et la communauté locale se tournent vers l’avenir avec l’espoir que des opportunités se présenteront pour reconstruire ce qui a été perdu. « Vivement que Dieu présente une opportunité afin de reconstruire », murmure l’un des propriétaires, exprimant ainsi un souhait partagé par tous ceux qui ont été témoins de cette tragédie.
Cet incendie rappelle la fragilité des petites entreprises face à des incidents inattendus, et souligne l’importance d’une solidarité communautaire pour aider les victimes à surmonter les pertes et à se relever. A cela s’ajoute la précarité des installations des petits commerces aux abords des grandes voies. Chaque commerce devrait aussi protéger ces investissements en installant par exemple les détecteurs de fumée. Cet appareil permet de vous alerter d’un début d’incendie dans le logement grâce à l’émission d’un signal sonore. Il ne coûte presque rien et permet de SAUVER DES VIES ET NOS INVESTISSEMENTS.
Sur les lieux : Ibrahim Mandé pour info mobile du Zandoma
