Aujourd’hui, le peuple Burkinabè a pris la décision historique d’exiger de son président la fin de la relation diplomatique avec la France. Cette décision est motivée par plusieurs preuves accablantes concernant des activités de déstabilisation orchestrées par des diplomates françaises.
Premièrement, il est révélé que les conseillers militaires de l’ambassade française sont impliqués dans un plan visant à déstabiliser le Burkina Faso, avec la possibilité d’assassiner le président, ils ont été expulsés. Ces informations ont profondément choqué la nation, mettant en lumière des intentions malveillantes qui ne peuvent être tolérées.
De plus, l’ambassadeur de France, Luc Hallade, a été impliqué dans des activités d’ingérence flagrantes. Ce fait a indigné toute la jeunesse burkinabè, renforçant le sentiment que la souveraineté du pays est menacée par la diplomatie française présente sur le sol Burkinabè.
En outre, le chargé des affaires de l’ambassade de France Guillaume Reichaser a également été découvert participant à des activités de déstabilisation. Cette découverte avéré a aggravé la méfiance envers les diplomates français, perçus désormais comme des acteurs hostiles aux intérêts du Burkina Faso.
Enfin, la DGSE, le service de renseignement extérieur français, a été impliquée dans l’attaque terroriste de Djibo, et deux de leurs agents et complices burkinabè sont toujours en détention. Cette révélation a profondément ébranlé la confiance du peuple burkinabè, confirmant l’existence d’une collaboration subversive visant à semer la terreur et l’instabilité dans le pays.
Face à ces éléments irréfutables, le peuple Burkinabè n’a d’autre choix que de mettre fin à ses relations diplomatiques avec la France, affirmant ainsi sa détermination à protéger sa souveraineté et à garantir la sécurité de ses citoyens.
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La Rédaction