C’est devenu un secret de polichinelle ; le principal atout du continent africain est la jeunesse de sa population. Bons nombres de jeunes ont pris conscience de leurs potentialités. Parmi eux, on peut citer sans balbutier, Karim OUATTARA, opérateur économique mais aussi et surtout initiateur d’un concept innovant à Abidjan appelé le complexe ABIDJAN LAGUNA SHOW.
Certes l’industrie du showbiz en général et de la musique en particulier en Afrique est moins médiatisée à travers le monde, mais sa force réside dans la diversité des sonorités riches et vendables.
En termes de chiffres : en 2020, l’industrie musicale en Afrique a généré plus de 25 milliards de dollars hors concert sur le continent africain. Deux pays ont été le centre névralgique de cette éclosion de la musique : le Nigéria et la Côte d’Ivoire. Selon la plupart des économistes, le marché pourrait exploser dans les prochaines années grâce à un marché de 400 millions d’habitants uniquement en Afrique francophone, dont 65% ont moins de 25 ans.
Karim OUATTARA (47 ans) lui-même jeune, avait toute suite perçu la pertinence. Car selon lui ; la jeunesse africaine est entreprenante mais elle a juste besoin d’être mise en confiance. Cette confiance passe par la stabilité de nos pays, la bonne gouvernance et surtout la cohésion sociale. Du haut de ses 2m12, il voit le continent Africain en grand, notamment en matière de showbiz. Aujourd’hui Directeur Adjoint de la Loterie Nationale de Côte d’Ivoire (LONACI) et surtout doté d’un fort bagage intellectuel en management pour avoir surtout été un interlocuteur chevronné auprès de la jeunesse dans la Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation dans les années 2012 à 2014 en Côte d’Ivoire. Très averti sur les questions culturelles et érudit dans la filière musicale, cet ex basketteur a surtout participé à l’éclosion et au succès de la chaine panafricaine B. Black Africa. Quoi donc de plus normal de s’intéresser à cette industrie musicale dans une vision et une dimension panafricaine.
En partant de ce postulat qui voudrait mettre les Industries Culturelles et Créatives (ICC) au centre des préoccupations du gouvernement ivoirien au service de la jeunesse africaine, il était donc opportun voire judicieux de se servir du sport, notamment de la Coupe d’Afrique des Nations de football, pour introduire ce projet faramineux mais réalisable : ABIDJAN LAGUNA SHOW !
Dans ce projet continental, Karim et sa dynamique équipe panafricaine voudrait mettre en avant ce qui est de chez nous. Notamment la Culture africaine à travers nos traditions flokloriques dans ce marché mondial concurrentiel. Pour donc conquérir ce marché, ABIDJAN LAGUNA SHOW a décidé de bien s’armer en proposant des créations et des créateurs africains de qualité, dans un environnement paradisiaque qui respecte l’éthique environnementale. Pour ce faire, il était important d’associer surtout de nombreux jeunes très avertis sur les questions évènementielles notamment Armel Koffi (Directeur Général de l’Agence ORIGIN 7) qui apporte pleinement son expertise dans ce partenariat qui commence à porter des fruits en quelques semaines. Le chemin est certes encore long.
En mettant en avant l’identité africaine, on développe des indubitablement des produits artistiques originaux qui généreront des économies flamboyantes. A la longue, les différents Etats comprendront grâce aux retombées substantielles de cette industrie du côté de la Lagune, l’importance de cette économie qui apportera au continent une valeur ajoutée.
Il appartiendra donc à cette jeunesse africaine, non seulement d’en faire bon usage, mais aussi de développer des concepts panafricains innovants afin que ABIDJAN LAGUNA SHOW soit cette terre promise du showbiz mondial tant souhaitée.
LECHAT !