Le ministre de la Justice et des Droits humains, chargé des relations avec les institutions, Garde des sceaux, Me Edasso Rodrigue Bayala, a procédé à l’ouverture des travaux du cadre sectoriel de dialogue « Justice et droit humains », ce mardi 27 février 2024, à Ouagadougou.
C’était en présence du ministre d’Etat, ministre en charge de la Défense, le Général de brigade Kassoum Coulibaly et du chef de file des partenaires techniques et Financiers, Alfredo Teixeira.
Le ministère de la Fonction publique, du Travail et de la Protection sociale qui assure la vice-présidence de ce cadre de dialogue était représenté par la Directrice générale des études et statistiques sectorielles, Pélagie Kabé.
A cette revue, les membres statutaires du cadre vont passer à la loupe les projets de rapport de performance annuelle 2023 et du Plan d’action pour la stabilisation et le développement (PA-SD) 2024-2026 du secteur de la justice et des droits humains avant leur adoption.
Le ministre en charge de la Justice, Me Bayala a salué la performance du secteur « justice et droits humains » qui se traduit par un taux d’exécution physique des produits de 84,12% au cours de l’année 2023.
Il a relevé, en sus, des progrès notables dans le domaine de la justice, des droits humains, de la promotion civique, et en matière des relations avec des institutions.
« Nos actions conjuguées doivent permettre à notre pays de disposer à l’horizon 2027 d’une justice crédible, accessible à tous et respectueuse des règles d’un Etat de droit qui garantit aux femmes et aux hommes, l’effectivité de leur droit », a indiqué le ministre Bayala.
Pour y parvenir, Me Edasso Rodrigue Bayala a invité les différents acteurs à travailler ensemble avec détermination et persévérance pour consolider les acquis engrangés et à relever les défis pressants.
Le Cadre sectoriel de dialogue justice et droits humains comprend le ministère en charge de la Justice, qui assure la présidence, les ministères en charge de la Fonction publique et de l’Administration territoriales qui assurent la vice-présidence et le ministère en charge de la Jeunesse.
DCRP/MFPTPS