La mortalité maternelle au Burkina Faso est imputable à l’avortement non sécurisé, une proportion extrêmement élevée, particulièrement si on la compare au taux mondial de 13 %. C’est dans ce sens que l’État burkinabè a voulu encadrer l’avortement afin de diminuer le taux de décès. Ainsi, l’avortement au Burkina Faso est légalisé en vue de préserver la vie et la santé de la femme. Explications par Mme KONKOBO/KABRE Boulguissa, Coordonnatrice du Projet Sauver la Vie (PSLV/ABSFM)